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27 juin 2012 3 27 /06 /juin /2012 00:10

26 bis juin

Regarde bien cette photo : bien cadrée ? merci, c'est gentil. Un beau camaïeu de vert ? oui, c'est vrai. Le coin est bien tondu ? en effet, l'agent communal n'a pas ménagé sa peine, 'pour une fois). Les conteneurs dont propres ? Aussi. Il ne pleut pas ? C'est pas faux.
O K : tout çà ne me dit pas si tu as vu le truc ? Non, non, la photo n'est pas truquée, ni trafiquée.
Ah bon ! Alors t'as vu ? la pancarte et les poubelles ? sympa, non ? L'interprétation cependant peut être multiple : Boutron c'es un coin poubelle - les poubelles s'appellent Boutron - l'emplacement des poubelles s'appelle Boutron - Boutron commence aux poubelles - etc. etc.
C'est quand même choquant...enfin moi çà me choque ! Je trouve qu'on aurait pu mettre les poubelles ailleurs, ou la pancarte. c'est qu'elles coûtent cher ces pancartes en plus ! Alors, autant les planter au bon emplacement ! Ironie ou mépris ?  "On" ne nous a pas demandé notre avis, à nous les habitants du dit lieu (et du lieudit).  Il y a un bon moment que les poubelles ont été changées de place, elles étaient 50 mètres plus bas sur le chemin quand, un beau jour, la ferme d'en face a décidé que çà l'emmerdait  et les a déplécées sans demander l'avis de qui que ce soit. Un socle avait été cimenté pour çà, maintenant il y a une auge en pierre dégoulinante de fleurs. voilà : fait accompli et quand on s'est permis d'en faire la remarque, "ils" ont rétorqué qu'ils n'en avaient rien à  faire...
Boutron poubelles
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26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 23:54

26 juin

Waouh ! voilà le derner visiteur passé au Moulin la semaine dernière : le vidangeur !
Waouh !  Quatre mètres de haut, tout en inox !  faut pas être manchot pour conduire çà ! remarque, le jour où tu vois un manchot conduire un camion appelle-moi, je ne veux pas rater çà !
A part çà, il n'y a pas grand-chose à dire à ce sujet, sinon que 'le gars' a bossé rapidement, sans histoire, les deux cuves ont été vidées et nettoyées en quarrante minutes, tout compris ! peut-être même moins.
Tiens, à propos d'inox : j'ai trouvé une poubelle en métal pour la cuisine, les croquettes des chiens : les souris ont attaqué le truc en gros plastique qui gardait les craquettes depuis Bill. Elles ont réussi à faire un trou dedans, et dans le paquet de croquettes... Alors, aaujourd'hui, je suis allée chez Gifi, et j'en ai trouvé une comme j'avais envie, genre modèle rétro, mais quand même avec seau intérieur et couvercle à pédale.
C'est une journée folle, non ?Edition-du-28-juin-2012-009.jpg
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17 juin 2012 7 17 /06 /juin /2012 10:45

16 juin

Aïe aïe aïe ! Qu'est-ce qu'il est passionnant, avec sa voix traînante, hésitante, il présente son travail de projet d'aménagement du bourg !

on lui a demandé de proposer des idées pour améliorer la sécurité des gens. Il a fait un'superbe' travail de fiches ordinateur, avec rétro-projo etc.

il a installé son matos, s'est placé en bout de table, à quelques centimètres de son écran, ce qui veut dire que tout le monde est assis derrière lui, quand il se tourne vers l'écran.

Il parle à son écran, ne regarde que son écran... Pour un peu, il dialoguerait avec lui, il ne se tourne jamais vers le reste du groupe. Il clique, manie sa souris, la flèche se balade sur l'écran, cest la seul chose animée dans la salle.

Huit personnes, tout compris (et lui et moi). Laurent est resté dix minutes. - pas plus - moi, je m'ennuie comme un rat mort. J'aurais dû faire comme Laurent, mais toujours cette 'vergogne' qui me bloque et me cloue sur ma chaise. Si je pouvais, je disparaîtrais !

Je n'ai pas encore pris de photos.

La voix 'excitante' de ce type me tape sur les nerfs. Il y a plus de silences que de virgules.

On a l'impression qu'il enfonce des portes ouvertes, çà n'avance pas ! Il parle, il parle, sans jamais regarder personne ! Il est certzinement compétent, je n'en doute pas ! mais alors il cache bien son jeu !

Il explique chaque photo, commente, mais rien n'avance. On est encore là pour un bon moment. Il va falloir prendre patience pour avoir les infos sur sa proposition d'aménagement !

Hésitation ! Hésitation ! Ce n'est même pas une valse !

il m'énervve !

Oui, je sais, je n'ai pas de patience, mais il est quand même gratiné. Il prend des notes entre deux phrases ! Un des 'assistants' s'endort, il est vraiment soporifique le mec.

Un peu de soleil sur l'écran, et les photos pâlissent, se floutent, on ne voit pratiquement rien. Et cette flêche qui sursaute là-dessus, çà agace à la longue.

*Euh ! donc voilà ! Euuuuhhh ! ce sont les ponctuations orales de monsieur.

L'un lutte contre le sommeil, l'autre a ouvert un dossier qui manifestement n'a rien à voir avec le sujet traité ici, un autre encore balance son pied de plus en plus haut, il va bientôt taper dans la table, un autre a les yeux dans le vague, il est très loin d'ici : c'est marrant !

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 11:31

Hosto

Ah çà ! Si on savait tout ce qui nous attend à la veille d'une opération ! Je ne suis pas sûre que l'on irait ! Pas sûre du tout !
Oui c'est encore de moi que je parle. C'est le sujet que je connais le moins mal, et encore !
D'abord la préparation à l'opération : il faut passer sous la douche avec un savon désinfectant, tu es toute seule, depuis le départ de ton homme qui doit rentrer à la maison. Il y a école demain !
Alors tu joues les braves, tu files sous la douche, le coeur battant, et le savon entre les mains, tu tiens en équilibre dans un bac sans appui ! Pas tellement adapté à mon problème, mais je suis grande! Je marche sans les cannes et je me lave toute seule. étant donné que je tiens encore debout, je pense que l'on m'a déjà donné des 'trucs' préopératoires pour me détendre.
Je suis dans mon lit d'hôpital, ridiculement aménagé, inconfortable mais bon ! Je finis par m'endormir.
Le lendemain matin, voilà que l'on vient me chercher, on me fait glisser sur un brancard de salle d'op', je me rends compte à peine de ce qu'il se passe, je vois défiler les dalles du plafond. Gris clair, je trouve qu'ils devraient faire des desssins au plafond pour que les patients allongés puissent se distraire : des BD, des bulles de gags, histoire de faire passer le temps en oubliant pourquoi on est là.
Ensuite, tout se mêle un peu : tu es installée en rang dans une antichambre, assez froide, tu tires le drap sur toi, jusqu'au cou pour limiter les dégâts. Tu frissonnes, tu glaglates, tu espères que tu ne parles pas tout haut, et que tes pensées sont muettes (comme tu le crois) Tu n'as aucun pouvoir sur toi, tes muscles se crispent, tu as les genoux qui claquent, ton corps tremble sans que tu puisses rien pour l'arrêter.
Les infirmières vont et viennent autour de ton lit, tes mains volent avec elles, on y pique des aiguilles, tu sens couler ton sang, chaud, contre ta peau, sans savoir d'où.
Leurs paroles sont plus ou moins nettes à ton oreille. Elles parlent doucement, mais régulièrement demandent :"quel est votre nom ? votre date de naissance ?" J'ai le souvenir qu'elles me l'ont demandé trois fois...
Les bruits s'estompent peu à peu, tu coules doucement dans l'inconscience.
Tu te réveilles dans le même endroit, du moins çà y ressemble, Tu es toujours allongée sur un brancard, recouverte d'un drap et d'une couverture, tu n'as pas très chaud, ta bouche est en carton, tes pensées sont plutôt brumeuses, vagues, mélangées...
C'est un peu le bintz dans ton crâne, çà bourdonne tout autour, tu sens des mains qui passent sur tes bras, tes mains, ton pouls au poignet. Les voix sont quelque peu cotonneuses, les conversations planent au-dessus du brancard, sans aucun rapport avec l'état des opérés : nous sommes pluseurs à attendre que l'anesthésie s'efface, et apparemment je suis la dernière. Autour de moi le vide se fait, les brancards quittent la salle, le silence s'installe tandis qu'on me ramène dans ma chambre.
Le Chef est là qui m'attend, je me sens tout de suite rassurée, même si je suis en confiance avec l'équipe médicale.
C'est une couverture douce et tendre qui glisse sur moi quand je vois que le Chef est là.
Ma cuisse droitre est toute engourdie, je n'ai pas mal.
Pas mal, ai-je dit ?
Pas mal !
Deux mots qui m'étaient inconnus depuis des mois !
Yes ! çà va peut-être changer au fil de la nuit, mais pour le moment j'en profite !
C'est le défilé pemanent autour de mon lit, entre les personnes d'entretien, les soignants etc.
"Ouvrez les yeux ! ouvrez les yeux !" les mots arrivent jusqu'à mon cerveau qui n'en croit pas encore ses neurones : mais où donc est passée la douleur ?
Elle est camouflée, sans doute, par la morphine que je me donne directement de la pompe à morphine  qui est attachée à ma main qui envoie une injection comme je veux.
La nuit se déroule sans souci.
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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 12:05

19 mai

Trolls-Paques-2012-072.jpgTrolls-Paques-2012-083.jpg19 mai : Journée importante dans la mémoire familiale. Saint-Yves et anniversaire du Chef ! Et c'est la première fois, en trente ans de maraige, quil est présent le jour même de son anniv' ! Chaque année, il avait des rendez-vous, des réunions etc. Cette année, nous avons pu nous réunir au Mouln pour fêter çà dignement, en même temps que la Saint-Yves avec Mamipom et la Saint-Eric avec Papipom...Alors cadeaux, bulles et confettis ont été de la fête, ainsi qu'un bon repas pour saluer 'correctement' cet évènement.
Les lutins étaient présents, et c'est fou le 'bruitt' qu'ils arrivent à générer ! Les décibels ont claqué toutte la soirée, éclats de rires, cris de joie, câlins impétueux, bref toute la panoplie du joyeux drille facétieux te bruyant. Rabelais peut aller se rhabiller. Il est coiffé au poteau par Benoît et Paul !
Paul ! Paul ! Quand sa mère était petite, son grand-père l'avait surnommée 'La Hurlette'... On se demande de qui cet enfant tient sa puissance sonore... Même Benoît s'incline devant un tel déchaînement ! Tout lui plaît, il découvre la vie avee gourmandise, truculence, il ne se laisse démonter par rien, ni personne, sans insolence il va son bonhomme de chemin, sans se laisser détourner. Le tout avec de grands sourires, des éclats de rires, c'est un sacré petit bonhomme.
Benoît, quant à lui, bombarde l'assemblée de questions : pourquoi ? c'est quoi ? et pourquoi ? Sa sensibilité est plus à fleur de peau, il s'impatiente vite, est assez émotif, est très attentif aux autres...Toujours dans les rires malgré tout, il se laisse démonter plus vite que son frère. Un petit chevalier blanc, plein de malice, il joue avec les mots qu'il a précis et toujours à propos.
Les Trolls ont manqué, à la grande déception de Benoît qui a cherché "ses cousins", qui habitent trop loin "et çà m'énerve !" Il est termps qu'ils se rapprochent du Moulin, pour que nous puissions vivre un peu plus ensemble et partager avec eux ce que nous vivons ici. Ils nous manquent beaucoup mais sont toujours présents dans nos coeurs et nos conversations...Mais ce n'est pas pareil...
Bon, on ne va pas épiloguer sur une situation qu'on ne peut pas changer. Ce serait vain. Pas la peine de retourner le fer dans la plaie. L'important pour nous  c'est qu'ils se sentent bien quand ils sont là, le reste...Moulin-anniversaire-alexis-01--3-.jpg 
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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 11:49

16 mai

Ouais ! En effet, je tiens bien mon engagement ! Voilà 4 jours que je n'ai pas ouvert ce blog. Et pour quoi dire ? Rien au fond. Les jours passent avec une effarante rapidité, les 'gens' ne me font pas signe pour le journal : ce qui devrait me donner plus de temps pour moi...
C'est vrai que le journal est un peu en berne cette semaine ! Pas de conseil municipal digne de ce nom, rien d'intéressant à se mettre sous la plume. Ma boîte mail est désespérémment vide. Et, en plus, je n'ai pas eu le temps de terminer l'album du chantier...Je vais donc m'y replonger, si c'est possible, et finir ce que j'ai commencé !
Je vais toujours chez la kiné : une femme du même âge que moi, une énergie débordante et un punch ! Godelaine est son nom. Pas commune, pas courant, c'est un prénom du Nord, un ch'ti en fait. Elle, elle est vraiment géniale...Je ne connaissais pas. On s'entend pas mal, on discute pendant les massages. J'apprends beaucoup avec elle mais les progrès ne sont pas aussi rapides que je le souhaiterais. J'essaie de suivre ses conseils et consignes, mais parfois j'ai bien du mal. Tous ces muscles sont rétifs, contractés c'est pas croyable, et donc, douloureux quand je marche.
Allez, je vais plutôt continuer à décaper le petit bureau de Daddy que je veux repeindre aux couleurs de Benoît pour sa chambre. La peinture rose ne va plus très bien, mais elle est tenace, je gratte millimètre par millimètre !
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13 mai 2012 7 13 /05 /mai /2012 14:25

11 mai

Comme promis à moi-même, je vais esssayer de me tenir à une page journalière, quitte à casser les pieds aux évetuels lecteurs. Pour les petits-enfants, les parents mettront les filtres qu'ils jugeront nécessaires
Le Moulin est devenu un véritable chantier digne de Tchernobyl ou de Fukushima, tant il règne un désordre incroyable dans toutes les pièces de la maison. Bon, il y a depuis un certain temps la salle de bains qui avance à tous petits pas, et ce, pour trente six mille raisons toutes meilleures les unes que les autres ! La douche est posée, branchée et fonctionne vraiment bien. Le dressing est opérationnel. Pour le reste, il faut défaire la tapisserie du mur côté écluse, refaire l'électricité, fixer les panneaux de lambris qui attendent debout dans la véranda depuis l'été dernier ! Ensuite, placer correctement la commode surmontée d'une vitrine, face au dressing. Stabiliser le lavabo (piqué à la chambre d'amis), placer une tablette tout autour, fixer une ou deux patères pour les peignoirs et serviettes...Réviser la porte et son clenche qui bloque. Il faut que ce soit facile à fermer !
Dans l'ancienne salle de bains, il faut vérifier les branchements des machines, donner un petit coup de fraîcheur aux peintures.
Maintenant, c'est la cuisine qui est en ligne de mire ! et c'est pas d'la tarte !Tout, tout défaire : à commencer par la cloison, pour laisser un peu plus de champ...Donc, tout a été démonté, l'évier est posé provisoirement sur des traiteaux, la plaque de cuisson, la de gaz sont dans la salle à manger. Les étagères ont disparu, tout le matos dans la véranda ! On commence par la peinture , deux, troix couches de blanc cassé pour donner un coup d propre et ed lumière. Mais où ranger tout çà ?
C'est bien de démonter, d'avoir des projets, mais quand on ne fait pas de plan clair et nte, on risque des erreurs, et çà n'a pas manqué. La première partie est nickel, et le lave-vaisselle est de nouveau opérationnel. Mais, xôté île Nord, çà cloche un peu. Oh ! rien de bien grave, mais il va falloir refaire le muret, en le déplaçant de quelques centimètres.
Et ce qui semblait être un chantier pas trop compliqué devient un chantier pharaonnique ! On a enlevé le meuble de l'évier qui était complètement pourri après la dernière inondation ! poser le tout sur des traiteaux, le temps de mettre l'évier bien à l'horizontale, puis le plteau qui devrait faire toute la longueur, y placer la plaque de cuisson et le four ! raboter l'angle qui blesse (et prend toute la place), changer le lave-mains qui est trop petit et se procurer des 'tiroirs' que l'on glissera dessous. Rehausser l'évier de dix centimètres a demandé qu'on change sa tuyauterie, etc. etc. Chaque chose qui change prend un temps fou : démonter, aller chercher le nouveau matos, le mettre en place, tout çà bouffe le temps et on a l'impression que rien n'avance !
A ce jour, l'évier fonctionne, la plaque de cuisson est 'perchée' sur un cadre de bois, en attendant le trou pour l'y placer ; tout le reste attendra que l'on soit disponible pour 'bricoler' suite et fin, et que les finances se renflouent queqlue peu !
Je glisse quelques photos.
Ah ! j'allais oublier !  Horreur malheur ! la terrasse ! Misère ! ele couvre (enfin) le trou entre la turbine et la passerelle. C'est super ! J'en suis bien contente, même si, là aussi, je n'ai pas obtenu totalement que je rêvais... Le résultat est fort satisfaisant...Boutron-salle-de-bain-02--1-.jpg
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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 13:17

Et voilà

 Et voilà ! Encore un mois de passé et rien, rien, rien sur le blog ! Je me sens un peu honteuse : je ne préoccupe que de moi et mon imagination est obnubilée par ces hanches. Comme dit la chanson de Adamo : ''Laisse mes mains sur tes hanches'', je ne pense qu'à çà et çà ne va pas si bien ! J'ai hâte que çà fonctionne correctement, mais les douleurs sont toujours présentes et très actives !
Avec la kiné, Godelaine de son prénom, on avance doucement. J'ai toujours peur d'un déscellement, je me fais des films pas possibles et çà n'arrange pas les progrès de marche. D'après elle, il n'y a pas de risque et tout çà est dû au fait que les douleurs ont eu le temps de bien s'installer en deux ans et que çà ne va pas s'effacer en deux ou trois mois...
J'ai repris 'un peu' mon job au journal et j'ai un trac fou à l'idée de retrouver tous ces gens. Jusqu'à maintenant, j'ai juste rencontré une artiste (et amie).
Quand le Chef est allé au conseil municipal, les gens ont presque applaudi à son arrivée. Une nouvelle fois, j'ai délégué quelqu'un à ma place. pour l'instant, je trazvaille surtout par e-mail...
Je vais essayer de me tenir à écrire une page par jour. Mais je n'ai pas autant de temps que çà. Du moins, il passe trop vite, ou je suis devenue trop lente ! convalescence, convalescence sans doute ! Ah la la ! Quelle affaire !
Chaque matin je me réveille avec des courbatures partout, les membres lourds, lourds, et çà c'est l'apanage de Parkinson ! j'avais oublié celui-là ! Alors, il faut dégourdir tout çà, doucement, ce qui n'arange pas la marche. La matinée passe à me remettre dans mes plis, à émerger.
Alors, c'est parti, au bout de deux ou trois heures, eh oui quand même ! Ensuite, il faut négocier pour que les jambes veuillent bien suivre ! Avec les cannes, on marche, mais pas trop vite sinon tout est à refaire, il faut y penser tout le temps, Parkinson toujours, et convalescence en plus. L'association n'et pas formidable mais on peut encore faire plein de choses, quand même, mais plus lentement, plus maladroitement. J'espère que çà va s'effacer au fil des jours . Et si le jour semble avoir la durée d'un mois, on va faire comme si...
Quand le soleil voudra bien revenir, on pourra peut-être sortir un peu plus souvent, avec de la lumière et de la chaleur, le mental se remettra aussi dans ses plis...
allez, haut les coeurs, la vie va !
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6 avril 2012 5 06 /04 /avril /2012 00:22

Bug

Mars-2012-04.jpgMars-2012-01.jpgVoilà ! Difficile d'avoir maintenant la police qu'on veut pour écrire sa page ! Regarde-moi cette patte de mouche ! Je ne peux pas continuer ainsi : je n'arrrive même pas à me relire...

En plus, je ne vais pas pouvoir ajouter de photo, j'ai atteint le quota dévolu; J'ai dû me tromper quelque part, car je vois : les blogs des autres ne sont pas limités en photos...

Je suis fâchée avec mon ordi, il ne fonctionne pas correctement, je n'ai plus facebbok, la page s'affiche ave des graffitis bizarres, on me dit qu'il faut le nettoyer, qu'il a peut-être chopé un virus, etc,. En tous cas, moi, je suis bien embêtée. C'est fou comme on devient quasi dépendat de ce genre de contact ! Je n'aurais pas imaginé çà il y a troois ans...
C'est marrant, mais je ne rigole plus, la farce dure depuis trois jours, le <chef n'est pas là pour chercher la solution, moi je n'y connais rien, alors que reste-t-il ? Faire venir quelqu'un ? Ben tiens, dis çà au Chef et tu verras...

Je commence à retrouver mes marques dans la vie quotidienne, petit à petit, je reprends mon rythme, avec appréhension, certes, mais çà vient ! Je ne me déplace pas sans les cannes, même si je m'y lance dans la journée, ce n'est pas devenu un réflexe, les mouvements sont gauches et très douloureux pour certains, les hanches sont indolores : çà me change ! Je fais ma 'petite' marche quotidienne, çà ne m'emmène pas très loin, tout doucement un pas de plus chaque fois...

Dans la maison, je fais plus de choses, je ne suis plus fixée dans le fauteuil toute la journée, j'arive à faire quelques petits trucs dans la cuisine, je vais et viens avec une seule canne. Samedi dernier, j'ai même conduit ma voiture sur une dizaine de kilomètres en campagne ! Bien contente, mais le Chef était à côté de moi au cas où...

Je ne pensais pas qu'une convalescence était un parcours aussi difficile : je n'ai pas de souvenirs des autres opérations que j'ai subies, et puis j'étais plus jeune çà doit être çà ! MAis là, j'avoue que j'accuse le coup !...

Bon, ben voilà. Je crois que j'ai fait un petit tour de la question, je vais retourner à mes exercices divers et variés et douloureux : kiné oblige...
Donc pas de photo, comme signalé plus haut.

Bisous et bonne nuit. Mars-2012-02.jpg! ...Et bien si, le photos fonctionnent toujours ! Comment j'ai fait ? je ne sais pas...

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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 18:31

Légèreté

Exemple :

 

"-  Allo, Madame X ?

- Oui, c'est moi.

- Bonjour, c'est Monsieur R.  de la banque, est-ce que je peux parler à Monsieur X : il manque 3500 € sur le compte, et je voudrais savoir ce qu'on fait."

 

Un peu abrupt, non ?

Est-ce bien réglo   ?

 A-t-il bien le droit de faire ce genre d'appel ?

Comment sait-il avec certitude que c'est bien Madame X qui répond ? C'est  peut être sa maîtresse, ou n'importe qui d'autre...Ils peuvent être en instance de séparation...

Monsieur X a peut-être envie de 'faire des folies' sans en parler à sa femme....

 il a sans doute raison, ce monsieur R. de la banque, mais moi je considère qu'il y a faute de sa part : il n'a pas à donner de détails au téléphone. Il doit seulement demander à parler sans rien de plus !

Il risque de ficher le feu dans la boutique !

Cette espèce de blanc-bec court les rues, cette légèreté de comportement s'est installée à tou les niveaux : la banque, le service à la personne : quand une infirmière vient, par erreur, un jour où elle n'a pas rendez-vous, et, dit-elle en insistant, qu'elle a frappé, appelé, re-frappé, re-appelé,. Point. Elle n'a pas cherché à savoir ce q'il se passait, si la personne était chez elle ou pas, après tout elle aurait pu tomber sans pouvoir appeler...  Non, elle est repartie sans contrôler au téléphone...

Enfin, voilà , ah la la ! pas facile !

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